Interview de Mustard Pimp

Hello a tutti

Mustard Pimp est passé directement de la banlieue parisienne aux tournées internationales. Pas de miracle, juste de l'envie bien convertie en travail efficace. Surtout que, côté scène, le duo balance une prestation hybride entre live et mix, qui commence electro et qui finit gros patate, quand Mustard Pimp joue des tracks de hardcore hollandais qui tache… Le trait d’union ? Une énergie explosive et l’envie d’en découdre. Interview pas lisse.

Extrait :

Comment est venu le nom “Mustard Pimp” ? Est-ce une façon de revendiquer votre identité franco-gauloise et fiers de l’être ?

Non pas du tout, disons que c’est juste une mauvaise blague qui a duré trop longtemps. Y’avait un groupe d’Amiens qui s’appelait Sylvester Stalline : on a toujours été jaloux du nom… et puis Mustard Pimp ça sonnait pas si mal, même dans Google c’était pas pris. On a dit Banco.

Un guitariste metal à la production, un DJ techno au mix… Vous êtes au croisement rock et techno, comme les Chemical Brothers ou Prodigy. Mais votre musique, c’est du big beat ? Ou de la hip-house ? Ou quoi alors ?

Finalement, c’est vachement big beat ouais, surtout dernièrement, on se sent bien là dedans, personne n’en fait plus. On a mis de l’acid dans de l’électro, un truc entre Prodigy et les zouaves de Stay Up Forever, des beats bien breakés, un brin d’ Eurodance, des influences gabber oldschool et des structures un peu plus Rock’n Roll : la vie quoi. Le dubstep ça nous emmerde royalement, par contre.

La suite ici :

culturedj.owni.fr/2012/02/06/interview-d...out-que-yen-a-marre/

Bonne lecture !